Une nouvelle balayeuse
Les Services Techniques municipaux sont dotés d’une toute nouvelle balayeuse. Celle-ci est équipée d’un 3e…
Grands travaux réalisés ou en cours de réalisations.
Depuis l’été 2023, d’importants travaux concernent un des édifices emblématiques de la Ville.
L’église Saint-Jacques est classée aux Monuments historiques depuis 1926. Du haut de ses deux tours de 58 m, elle est visible quel que soit l’endroit par lequel on arrive dans la cité cavalière. Mais au fil du temps, l’état général de la façade nord et des deux tours s’est dégradé.
Après la restauration de la façade Ouest, entreprise en 2019, place à une nouvelle opération de restauration d’envergure. Ce projet a pour objectif d’assurer la sauvegarde de l’édifice ainsi que la conservation de la statuaire, et de garantir la sécurité du public en contrebas de la façade (entrée de l’église).
La rénovation du massif central de la façade nord s’est terminée en septembre 2024 : renforcement structurel, restauration des parements, restauration des décors sculptés, protection en plomb des ouvrages exposés, etc.
C’est maintenant sur les tours Est et Ouest que vont porter les travaux de restauration.
« Les statues de Saint-Jean Nepomucène et de Saint-Michel retrouveront leur place », souligne Catherine Paillard. « Les indispensables travaux de couverture, charpente, maçonnerie, menuiserie… seront bien sûr menés à bien, sans oublier la mise aux normes des fluides : installation électrique, paratonnerres, alarme incendie, éclairages de sécurité… ».
Madame le Maire rappelle que ce projet de réhabilitation est porté par la Ville de Lunéville, avec le soutien de la DRAC, du Conseil départemental, de la Région Grand Est et de la Fondation du Patrimoine.
Le montant des travaux s’élève à plus de 4,4 millions d’euros HT, en grande partie subventionné (70% environ du montant total).
Don – Fondation du Patrimoine
Faites un don pour la restauration de l’église Saint-Jacques :
DEPLIANT FONDATION PATRIMOINE EGLISE LUNEVILLE-1
DEPLIANT FONDATION PATRIMOINE EGLISE LUNEVILLE-2
Lundi 11 mars 2024, la Ville a présenté aux Lunévillois et plus particulièrement aux riverains de la rue de Viller, les aménagements futurs de cette grande artère d’entrée de ville.
Ce projet a fait l’objet d’une concertation avec les habitants en lien avec le cabinet d’architectes Studiolada. A l’issue des trois réunions de concertation qui se sont tenues en décembre 2023, les professionnels ont travaillé avec les élus pour élaborer un projet répondant aux attentes des riverains et aux contraintes techniques liées à cette voie.
Le projet de restructuration parvient à concilier au mieux les attentes des riverains et à renforcer l’esthétisme de la rue. Dans ce sens, Catherine PAILLARD, Maire de Lunéville, a demandé que la prochaine OPAH’RU* portée par la Communauté de communes de Lunéville à Baccarat (CCTLB) puisse intégrer la rue de Viller dans ledit programme.
*Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat- Renouvellement Urbain
Afin de rompre avec l’aspect linéaire et minéral de cette voie, le projet vise à végétaliser la rue. Des parterres de plantes seront créés. Les sols seront désimperméabilisés (au niveau des places de parking).
De nouveaux espaces végétalisés sortiront de terre dans la partie la plus large de la rue. Les arbres malades seront remplacés par de nouvelles espèces.
Le parvis de l’église Saint Maur qui accueillera, à moyen terme, un musée dédié à la faïence, sera végétalisé.
Dans la partie la plus étroite de l’artère, la ville favorisera sur les bâtiments publics la végétalisation des pieds de murs et des façades. Cette initiative pourra aussi être étendue aux propriétaires privés qui le souhaitent avec mise en œuvre du permis de végétaliser.
Quant au stationnement, il sera conservé voire augmenté. Concrètement un parking d’une douzaine de places sera créé devant la salle Saint Maur. L’accès au parking de la Faïencerie sera facilité grâce à l’ouverture d’une voie piétons sécurisée (signalétique, éclairage…).
Le double sens de circulation sera maintenu et un dispositif visant à apaiser la vitesse et à favoriser les déplacements doux mis en place.
En pratique, pour réduire la vitesse, plusieurs chicanes ou écluses routières seront installées (priorité de passage pour un seul véhicule). Des passages piétons surélevés seront mis en place à chaque intersection et les feux tricolores conservés à l’intersection Cosson/Trouillet/Viller afin de sécuriser les sorties des élèves et faciliter le passage des bus scolaires. La signalétique de cette zone 30 sera renforcée.
Calendrier
→ mi-octobre 2024 à mars 2025 : enfouissement des réseaux secs (Enesdis, télécoms) avec le concours du SDE (Syndicat départemental de l’électricité)
→ janvier à septembre 2025 : programme de réaménagement proprement dit (sécurisation de la traversée, végétalisation…)
Lundi 10 octobre 2022, Catherine Paillard, Maire de Lunéville et Benoît Dujardin, Directeur Dalkia région Est, signaient le contrat de Délégation de Service Public de 25 ans pour la construction, le financement et l’exploitation du nouveau réseau de chaleur 100% bois-énergie de la Ville de Lunéville.
Après 1 an et demi de travaux pour créer les 12 kilomètres de réseau, une chaufferie construite en 13 mois avenue Paul Kahn, le réseau de chaleur est opérationnel depuis septembre 2024.
Ce projet ambitieux et novateur marque une étape clé dans la transition écologique de la commune.
La chaufferie du réseau de chaleur de Lunéville fonctionnera à partir de 100% d’énergie renouvelable locale : le bois-énergie. Une première de ce type en France.
Cette chaufferie est équipée de deux chaudières, d’une capacité de 8,5 MW. Elles utiliseront chaque année 16 000 tonnes de plaquettes forestières (branchages, bois d’élagage, bois abîmés…), issues de forêts situées dans un rayon de 100 km, garantissant ainsi une source de biomasse locale et durable.
De plus, ce site bénéficie de 484 m² de panneaux solaires photovoltaïques, installés en toiture, dans une logique d’autoconsommation. La prochaine mise en service de cette chaufferie permettra d’éviter l’émission de plus de 8 000 tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent de plus de 4 000 véhicules retirés de la circulation.
Pour compenser les émissions de CO2 liées au transport de la biomasse, une plantation de 5 hectares de forêt urbaine sera prochainement réalisée.
Ce réseau, de près de 12 km, fournira du chauffage et de l’eau chaude sanitaire à plus de 50 points de livraison, incluant des bâtiments publics et privés, des établissements de soins, des lycées, collèges, écoles et logements collectifs. Cela représente 3 300 équivalents-logement. Grâce à l’utilisation de plus de 50 % d’énergie renouvelable, les abonnés bénéficieront d’une TVA réduite à 5,5 %, assurant un prix stable et compétitif.
Cet investissement de 25,7 M€ (dont 10,7 M€ pour la chaufferie) est porté par Dalkia dans le cadre d’une Délégation de Service Public de 25 ans. Cette opération a été soutenue dans le cadre du programme Climaxion, par l’ADEME, la Région Grand Est et également, par le dispositif des Certificats d’Economies d’Energie.
Après plusieurs mois consacrés aux fouilles archéologiques, l’ex Impérial a été entièrement déconstruit en 2017. Fin 2019, un espace flambant neuf a réouvert au public.
Baptisé Cinélun’, il dispose de quatre salles modernes, équipées de plus de 500 fauteuils grand confort.
Rappelons que le maintien d’un tel équipement en centre-ville est subventionné de manière substantielle par l’Etat, la Région et l’EPARECA. Cet établissement public national, spécialisé dans l’aménagement et la restructuration des friches commerciales et artisanales, est le maître d’ouvrage de cette réhabilitation qui s’est effectuée sous l’assistance de la SOLOREM (Société lorraine d’économie mixte d’aménagement urbain).
Le cinéma est propriété de la Ville de Lunéville depuis 2015.
Consulter la page du Cinéma.
Engagés depuis l’automne 2017, les travaux de rénovation du complexe sportif se sont achevés une année plus tard avec l’installation du nouveau mur d’escalade.
Entre novembre 2017 et novembre 2018, entreprises extérieures et agents des services techniques de la Ville se sont succédé pour mener à bien les opérations suivantes :
– remplacement des huisseries et du bardage extérieur,
– création d’un ascenseur,
– refonte complète du hall d’accueil,
– aménagement de cinq vestiaires supplémentaires,
– création d’une salle de musculation,
– installation d’un mur d’escalade flambant neuf de 9,60 m de haut,
– mise en place de la wifi et d’une sonorisation professionnelle,
– nouveau système du traitement de l’air.
Les indispensables mises aux normes ont bien sûr été aussi réalisées : électricité, plomberie, chauffage, éclairage, incendie.
Chaque semaine, quelque 1 500 sportifs fréquentent le complexe (tennis de table, gymnastique sportive, judo, hand, danse, escalade, badminton, athlétisme), sans oublier 2 200 scolaires.
Financeurs
La réhabilitation du complexe sportif Charles Berte qui s’élève à 2,2 millions d’euros est financée avec le concours de plusieurs partenaires :
– fonds européens FEDER (à hauteur de 250 000 €).
– Etat, via la DSIL (Dotation de Soutien à l’Investissement Local)
– Région Grand Est
– Conseil départemental
Mais aussi la Fédération Française de la Montagne et de l’Escalade et l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie).
Ne l’appelez plus “Centre culturel Erckmann” mais “Le Réservoir”. Depuis mai 2017, la grande salle lunévilloise a changé de nom mais aussi de physionomie avec une refonte complète des intérieurs.
Après la réfection des toilettes, la mise en place d’un nouvel ascenseur et la transformation de la façade avec l’installation d’une nouvelle verrière, la restructuration des lieux s’est poursuivie en 2016-2017 avec :
– la reprise de toute l’électricité
– l’éclairage entièrement repensé (avec des pavés led et de grands lustres apportant une toute autre luminosité)
– la rénovation de la cage d’escalier
– la rhabillage des piliers
… sans oublier tous les travaux de menuiserie et de peinture.
Ancien château d’eau datant de 1876, le site avait été transformé en salle de réception au milieu des années 80.
A proximité de l’Hôtel de Ville, l’ancien presbytère a fait l’objet depuis 2015 de travaux de rénovation conséquents. Il a fini sa transformation en un espace muséal de qualité, à quelques centaines de mètres seulement du château.
Après la réfection de l’entrée et de deux salles en 2015-2016, de nouveaux travaux ont été menés à bien en régie courant 2017, mobilisant l’ensemble des agents du service Bâtiments.
A l’arrivée, la quasi totalité du rez-de-chaussée a été réhabilitée ainsi que la cage d’escalier menant au premier étage ; seules trois pièces servant essentiellement de lieux de stockage n’ont pas été rénovées.
Les peintures ont été refaites, l’électricité a été entièrement reprise, comme les sanitaires, la plomberie et le chauffage. Certains murs et plafonds ont été aussi rhabillés avec du placo plâtre.
La réfection du premier étage a elle été réalisée en 2018 avec le concours d’entreprises : déplombage des peintures, mise en peinture des volets et huisseries, des murs, cloisons et placards, remplacement des vitrages endommagés, restauration des parquets après ponçage et vitrification, travaux d’électricité, chauffage, plomberie et menuiserie de style, restauration de meubles anciens, pose des rideaux et tissus, mise en place des blocs de secours évacuation et d’un système d’alarme complet pour l’ensemble du bâtiment, pose de la fibre optique, etc.
La toiture a été aussi entièrement reprise au printemps 2018.
Consulter la page dédiée à l’Hôtel Abbatial.
La nouvelle place des Carmes a été livrée en décembre 2021.
Le long des écoles, la voie de circulation est dorénavant uniquement utilisée par les bus aux horaires d’ouverture et de fermeture des établissements, assurant ainsi une sécurité renforcée. De l’autre côté de la place, la réduction de la largeur de la voirie a permis d’ajouter des places de stationnement, et notamment des places « minute » pour les clients des commerces. Sur la place proprement dite, les emplacements de parking sont matérialisés (pavés avec joints en graviers) : la moitié en zone blanche, l’autre moitié en zone bleue. Les voies de circulation ont été réalisées en béton désactivé.
L’étude sanitaire des 57 arbres de la place ayant révélé des altérations significatives sur une majorité d’entre eux, ils ont tous été remplacés. La place en compte dorénavant 91, sans oublier 122 arbustes. 430m² de massifs ont été plantés et 900 m² de surfaces engazonnées.
L’aménagement de pistes cyclables de part et d’autre de la place a par ailleurs été réalisé sous les alignements d’arbres, ainsi que l’installation de range-vélos.
L’éclairage public a aussi été repensé avec l’installation de mâts aiguilles identiques à ceux de la place Saint Rémy et de la Gare. Un autre modèle d’éclairage, installé le long de la piste cyclable, est lui identique à celui choisi pour la place Victor Hugo, dans un souci constant d’uniformiser le mobilier urbain sur l’ensemble de la ville.
Subventions :
Région Grand Est : 156 000 €
Agende de l’Eau : 96 840 €
DETR : 249 787 €
A l’automne 2020, la place Victor Hugo a entamé sa mue pour être entièrement revégétalisée.
Fruit d’une concertation avec les habitants du quartier, sa nouvelle configuration se veut conviviale. La place a retrouvé sa fonction de lieu de rencontre et d’échange entre toutes les générations du quartier.
68 arbres étaient déjà implantés : des tilia cordata (tilleuls). 54 au stade adulte, 14 jeunes ; d’une hauteur de 4 à 5 mètres. Ils étaient tous en bon état et ont donc été conservés. La municipalité a en effet à cœur de conserver l’existant. La place disposait de 2 types de revêtements séparés par des bordures, du trapp sur le pourtour et du schiste en son centre.
L’ensemble de la place a été végétalisé pour proposer un véritable îlot de verdure. Les bordures ont été ôtées, le trapp décapé sur 10cm, le schiste décompacté et mélangé à de la terre pour servir de base à la pelouse. 36 nouveaux arbres ont été plantés pour composer une mini-forêt, qui conserve toutefois la visibilité existante avec des allées naturelles traversantes depuis les angles de la place. Les essences choisies sont des zelkova serrata (ormes de Sibérie) et des fraxinus ornus (frênes à jolies fleurs blanches, variété résistante à la chalarose).
L’éclairage a lui aussi été renouvelé pour des candélabres plus économes en énergie, l’accessibilité a été revue pour un accès facilité aux personnes à mobilité réduite. Les bancs ont été déposés et réemployés au cimetière, après rénovation, pour laisser place à du nouveau mobilier composé de chaises et bancs en métal.
Lors de la réunion de quartier portant sur le projet, des riverains ont demandé d’installer des jeux pour enfants. La municipalité a répondu favorablement à cette requête. Un terrain de pétanque de 3,50 m par 15 m a été conçu par les équipes municipales pour répondre aux attentes des habitants.
C’est un budget de 145 000€ qui a été alloué à la revégétalisation de la place Victor Hugo (hors jeux), dont les travaux se sont achevés à l’été 2021.
L’évolution du chantier depuis début 2023
Fin mars : réouverture de la rue le long du Monoprix, fermeture de la rue côté Salon des Halles jusque fin mai.
Début avril, la terrasse du café a fini d’être pavée, l’alimentation électrique de la place est tirée.
Mi-avril : coulage de la partie centrale de la place
Mi-mai : enrobé des extrémités de la place, côtés Gambetta et Banaudon – Installation des toilettes
Juin-juillet : mise en place du mobilier urbain (bancs, corbeilles…) et derniers travaux revêtement de sol
Fin août : une partie de la place ouverte au public pour Scènes en Selle
5 septembre : rouverture du marché
Octobre : installation des jeux pour enfants – En attente du coulage du sol amortissant
Novembre : plantations des carrés végétaux par le service municipal parcs et jardins
En 2024
Avril : remise en route du jet d’eau
16 mai : ouverture de la nouvelle aire de jeux
17 mai : inauguration de la place
Réhabilitation de la Place Léopold : rappel du projet
Financeurs
Etat, Région Grand Est, Département de Meurthe-et-Moselle, Agence de l’Eau Rhin-Meuse, Ville de Lunéville
Après le remplacement, à l’été 2022, des canalisations d’eau autour de la place qui dataient de près de cent ans, cette restructuration d’importance répond à la volonté de l’équipe municipale de densifier, dès que possible, la végétalisation en ville afin de développer des îlots de fraicheur. La place Léopold est ainsi la troisième place restaurée, après les places Victor Hugo et la place des Carmes, depuis 2020, dans le respect de cet objectif.
L’ensemble de la population et les commerçants ont participé à ce projet de restauration qui a été confié au cabinet d’architecture Studiolada.
Après plusieurs réunions publiques de concertation avec les usagers au printemps 2022, le cabinet Studiolada a soumis une proposition prenant en compte les remarques des habitants et commerçants interrogés sur ce projet. Concrètement, le projet travaillé avec le cabinet d’architecte et retenu par l’équipe municipale a vu la suppression du parking sur la place. Répondant ainsi à une attente forte des concitoyens.
Afin de conserver la lecture de l’axe historique Nord-Sud (Château-Gare), le centre de place a été laissé libre, sur une largueur de 17m, entre des espaces végétalisés et de détente.
La végétalisation de la place a été densifiée en respectant l’alignement actuel des arbres. Huit carrés végétalisés ont été ajoutés à la végétalisation existante. Au terme de cette rénovation, la place bénéficie de plus de 30% de végétal supplémentaire. Le jet d’eau sera remis en fonction aux beaux jours de 2024. L’aire de jeux pour enfants a été agrandie et installée côté Salon des Halles (fin 2023, elle n’était pas encore ouverte, en attente de son sol souple). La terrasse du café a vu sa surface doublée. Deux carrés détente avec tables et chaises ont été créés. Des bancs bordent la place et les toilettes publiques ont été mis aux normes dans un nouvel espace (bardage bois et végétal). Le nouvel éclairage public répond aux normes environnementales. Plusieurs mats à aiguille équipés de LEDS, peu énergivores, ont été installés. Quant au revêtement de la place, il a été choisi pour ses qualités perméables. L’axe central est revêtu de béton bouchardé. Sur les côtés de la place, des pavés de Porino rose et des granit gris bleu ont été posés. Dans un souci de cohérence, la rue le long du salon des Halles a retrouvé ses pavés (ceux-ci proviennent de chantiers antérieurs).
Pendant les travaux de réhabilitation de la place Léopold (janvier – août 2023), le marché a été déplacé parking Lhuiller.
A l’issue des travaux, la place a retrouvé son rôle de centralité et elle accueille à nouveau de nombreux événements festifs et culturels.
Après avoir rénové les rues de la République, Castara et Banaudon au cours de son premier mandat (2008 – 2014), la municipalité a poursuivi son ambitieux programme de réhabilitation urbaine sur l’axe Château – Gare en modifiant deux places majeures du centre ancien en 2016-2017.
// face à l’église Saint-Jacques, la place Saint-Rémy a été entièrement repensée. L’espace public a été décloisonné et les matériaux et mobiliers urbains homogénéisés. Un nouvel espace public paysager a aussi été intégré, comme pour tous les projets urbains ailleurs en ville.
La nouvelle place Saint-Rémy a été livrée en juin 2017.
Le coût total de la requalification de la place et des abords (rues Ste-Marie et Demangeot, passage devant l’Hôtel abbatial) s’est élevé à 1 106 892 € TTC. Projet cofinancé par le FEDER, dans le cadre de l’urbanisme durable, à hauteur de 153 111 € avec le soutien du Conseil départemental pour un montant de 107 500 € et du Fonds de Soutien à l’Investissement Public Local pour 195 700 €.
Place Saint-Jacques
Attenante à la place Saint-Rémy, la place Saint-Jacques a elle aussi été réhabilitée (livraison fin novembre 2017).
Toute la structure de la place a été repensée afin de favoriser le cheminement piétonnier et d’accroître la présence du végétal dans le coeur de ville. La voie a été décaissée et les trottoirs élargis. Un nouveau parking a été créé offrant 37 places aux usagers et un îlot vert a été intégré. Le nouvel ensemble est doté d’un éclairage modifié et en cohérence avec les prescriptions environnementales.
Rue de Vic
Dans le droit fil du passage en zone 30, la Ville a réalisé en 2021 la réhabilitation complète de la rue de Vic afin de sécuriser l’espace et d’asseoir la cohabitation entre automobilistes, piétons et cyclistes. L’état de la voie n’était en effet pas adapté aux piétons et à l’usage du vélo. Offrir aux habitants un aménagement de rue sécurisé, doux et paysager était donc l’objectif recherché.
Après quelques travaux sur le réseau d’assainissement, les opérations de réaménagement ont été les suivantes :
150 arbres ont été plantés. Le peuplement des ilots a été réalisé avec des graminées et vivaces de faible hauteur afin de ne pas gêner la visibilité (végétaux de hauteur plus importante là où c’est possible). Le service Parcs, Jardins et Aménagement Paysager propose une palette végétale variée, composée de végétaux rustiques, qui résisteront aux périodes de sécheresses que nous connaissons régulièrement.
Grâce à la diversité végétale, l’aménagement évoluera au fil des saisons : coloration des feuillages, floraisons alternées, etc. Les massifs sont paillés afin de limiter l’évaporation et le désherbage.
Consultez la description des plantes de la rue de Vic ICI
Nouveau giratoire avenue de Gerbéviller
Afin de fluidifier la circulation et l’entrée dans Lunéville, par l’avenue de Gerbéviller, la municipalité a aménagé à l’été 2017 un rond-point en lieu et place des feux tricolores.
Ce giratoire est situé à l’intersection de l’avenue de Gerbéviller, du boulevard Pompidou et des rues Sainte-Anne et Saint-Maur.
La RD31 est classée route à grande circulation : chaque heure, elle est empruntée par plus de 2000 véhicules “entrant”, sans oublier les convois exceptionnels.
Pour permettre le passage de ces derniers sans encombre, une partie du rond-point est bétonnée ; l’autre sera paysagée pour participer à l’embellissement de cette entrée de ville.
Requalification du secteur gare
C’était le projet phare 2018-2019, d’une enveloppe de 3 millions d’euros. Il a concerné les artères depuis les rues Rivolet, Girardet, Charles Vue, jusqu’à l’avenue du 2e BCP avec création d’un rond-point. Ce dernier aménagement est la réponse la mieux adaptée pour :
– fluidifier le trafic des 60.000 voitures potentielles de l’arrondissement convergeant vers le chef-lieu
– réduire la pollution
L’axe « est appelé à prendre de l’importance » et la réhabilitation a permis de « mettre en valeur l’espace intermodal (TER, TGV, bus, voiture, vélo, taxi…) devant la gare en ouvrant des perspectives pour que les gens s’engagent vers le centre-ville », souligne Jacques Lamblin.
Cités Cécile
Comme s’y étaient engagés les élus, chaque année depuis 2014 une rue des Cités Cécile a été rénovée (assainissement, trottoirs, voirie).
En 2024, la quasi totalité des rues ont été refaites, du quai de Reichshoffen au quai de Bitche, en passant par les rues du Général Mouton, Général Rapp, Eugène de Dietrich, Edouard de Turckheim, Général Kleber et Général Kellermann.
Reste juste pour 2025, la réhabilitation du quai de Phalsbourg.
La cour des écoles Demangeot et La Fontaine a été réaménagée à l’été 2021 pour offrir aux écoliers des espaces ombragés en cas de fortes chaleurs. Le nouvel espace offre aussi un espace de détente et de jeux adapté à leurs attentes.
Enfants et enseignants ont été concertés pour préparer cet aménagement. Les enfants ont voté pour définir leur structure de jeu préférée.
Par la suite, d’autres cours d’école ont été concernées par ces opérations de végétalisation :
– école Jules Ferry en 2022
– école maternelle Hubert Monnais en 2023
– école élémentaire Hubert Monnais et école du Quai en 2024
A chaque fois, les élèves sont partie prenante pour le choix de leurs structures de jeu et les plantations des végétaux et/ou arbres sont réalisées à l’automne.
Ces travaux sont financés par la Ville et par l’Agence de l’eau Rhin-Meuse.
Le gymnase de la Barollière a rouvert ses portes au printemps 2022. L’apparition de fissures importantes avait amené à la fermeture du site en septembre 2018. Dix entreprises sont intervenues sur le chantier : reprise du sous-oeuvre, fondation des vestiaires, délimitation d’un véritable hall d’accueil qui mène à la salle et aux quatre vestiaires. La demi-douzaine de clubs précédemment habituée aux lieux va pouvoir se réapproprier le site avec un confort bien meilleur, et le gymnase pourra de nouveau accueillir des manifestations comme auparavant (bourses aux livres, aux timbres, aux vêtements, brocante, théâtre…)
Subventions :
Conseil Départemental : 75 364 €
DETR : 130 225 €
Agence Nationale du Sport : 75 000 €
Dans un souci d’économie d’énergie, plusieurs travaux ont été opérés sur les bâtiments publics.
54 fenêtres ont été remplacées à l’Hôtel de Ville , 25 fenêtres et 1 porte à l’école Alsace, 11 fenêtres à l’école Villebois Mareuil.
Subvention DSIL : 66 700 €
Les Services Techniques municipaux sont dotés d’une toute nouvelle balayeuse. Celle-ci est équipée d’un 3e…
Les services techniques de la Ville de Lunéville ont récemment fait l’acquisition d’un nouvel outil…