Ville de Lunéville

Prêt de jeux de société

La ludothèque le Donjeux n’ayant pas pu reprendre une activité normale depuis mars 2020, l’équipe propose un service permettant aux lunévillois d’emprunter des jeux de société.

Ainsi à partir du 15 février, un catalogue de 28 jeux répartis dans 7 familles (stratégie, observation, adresse…) est téléchargeable ci-dessous.

Vous pouvez contacter la ludothèque au 03.83.76.48.55 les lundis, mardis, jeudis et vendredis de 14h à 16h30 afin de réserver vos 2 jeux choisis pour une durée de 3 semaines et convenir d’un rendez-vous pour leur retrait.

L’achat d’une carte de prêt, auprès de la ludothèque, vous coûtera 5.95€ et vous permettra d’emprunter au total 10 jeux. Elle reste valable sans limite de temps.

Pour information, l’offre de jeux pourra s’étendre en fonction des demandes de prêt et les jeux empruntés feront l’objet d’un protocole particulier à chaque retour : 1 semaine de repos suivi d’une désinfection complète.

Maintenant, il n’y a plus qu’à faire votre choix parmi le bamboléo, le flori colori, le karé dément ou encore le lynx.

Bon jeux à tous !

Contact : Ludothèque le Donjeux 44,rue ernest Bichat 54300 LUNEVILLE/03.83.76.48.55

Consultez le catalogue ICI

 

Garde d’enfants : enquête du RAM

Géré par le CCAS de Lunéville, le RAM – Relais parents Assistant(e)s Maternel(le)s – s’interroge sur les familles qui ont des contraintes horaires pour faire garder leur(s) enfant(s). Ex : garde dès 6h du matin, jusqu’à 22h, le dimanche, etc.

La structure invite donc les parents concernés à remplir ce questionnaire :
https://urlgo.fr/bc7X

Rappelons que le RAM accueille régulièrement parents, enfants et assistant(s) maternel(le)s pour des rencontres, des échanges et des activités ludiques et d’éveil.
Une structure qui informe aussi sur les conditions et contrats de travail des assistant(e)s maternel(le)s.
plus d’infos ici

RAM de Lunéville
6, rue Sainte-Anne
03 83 72 84 17
ramccas@mairie-luneville.fr

Nouvelle paix entre la France et l’Allemagne

En pleine année Napoléon, qui fête le bicentenaire de la mort de l’empereur, et exactement 220 ans après la signature du Traité de Lunéville, notre commune a été aujourd’hui le théâtre d’une réaffirmation de la paix qui unit la France et l’Allemagne.

Le 9 février 1801, Joseph Bonaparte, représentant de la République Français et frère de Napoléon, et le comte Louis de Cobentzel, représentant de l’Autriche, signaient le traité de Lunéville. Il attribuait notamment à la France la rive gauche du Rhin. Le point final du conflit opposant Bonaparte, premier Consul, à François II, empereur du Saint-Empire romain germanique, battu par l’Armée de Bonaparte à Marengo.

220 ans plus tard, une délégation allemande et française a réaffirmé cette paix entre nos 2 pays, qui vit notamment au travers de nombreux échanges avec notre ville jumelle, Schwetzingen.

Approfondir le sujet ...
En lien avec la future exposition à l'Hôtel Abbatial

En ce début d’année 1801, la municipalité se prépare  à recevoir l’Empereur. La ville est alors placée sous l’administration d’un maire nommé par le Premier Consul, selon la nouvelle organisation créée par la Constitution du 22 frimaire an VIII (13 décembre 1799).

C’est Jacques-François-Joseph Pouponot des Brissonières d’Alancourt qui est assigné à cette fonction. De fait, il avait déjà été nommé maire le 18 Pluviôse An III ( 6 Février 1795), puis, suivant les aléas des réformes administratives, avait été élu officier municipal par les assemblées primaires. Il sera tour à tour nommé commissaire des guerres en l’an IX, Commandant de la garde nationale de Lunéville puis Commandant de la garde d’honneur à cheval.

Le sieur d’Alancourt, originaire de Fontenay-le-Comte en Poitou est un ancien sous-lieutenant de cavalerie dans la compagnie des Bourguignons, un des corps des gendarmes rouges. Il s’est marié à Saint-Nicolas-de-Port le 20 novembre 1787 avec demoiselle Jeanne-Françoise Hugard. Si ces unités étaient réputées ne concerner que la noblesse, le sieur d’Alancourt s’en défend.

En effet, il fait retranscrire son acte de mariage sur les registres de Lunéville le 2 Pluviôse An VI (21 Janvier 1798) avec en marge la citation suivante : « A l’administration municipale de la commune de Lunéville intra-muros. Citoyens, Instruit que sur mon acte de mariage passé le 20 novembre 1787 il se trouve le mot messire, je déclare que c’est à mon insu qu’il y a été inséré, qu’il ne m’appartient pas, et qu’il n’existe ni sur mon contrat, ni sur mon extrait de baptême. En conséquence, je demande d’être autorisé à le faire rayer sur ledit acte et qu’il soit fait mention en marge de la demande que je fais de sa radiation. Signé Pouponot d’Alancourt ».

La notoriété de ce maire ne faiblira pas. Il sera nommé et reçu chevalier de Saint-Louis par S.A.R. Monsieur le 1er novembre 1814 et administrera la ville jusqu’en 1823. Il décède le 27 septembre 1824.

Dés la réouverture du musée de l’hôtel Abbatial, vous pourrez rencontrer cet incroyable personnage, membre de la famille Soyer, au cœur de la nouvelle exposition qui bénéficie du label 2021 année Napoléon.

Un des premiers réalisateurs de film était Lunévillois

Auguste François est un diplomate et photographe français né le à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) et mort le 4 juillet 1935 à Belligné (Loire-Atlantique).

Il a filmé en Chine grâce à une caméra prêtée par Louis Gaumont, de 1901 à 1904.

Pendant une semaine à partir du 3 février 2021, vous pouvez voir sur le site de la Cinémathèque française des films d’Auguste François d’une durée de 52 minutes  et récemment restaurés :

HENRI : Des films rares de la Cinémathèque française à voir en ligne (cinematheque.fr)

 

Semaine olympique : des élèves lunévillois dans le coup !

Dans le cadre de la Semaine olympique et paralympique qui se tient en France du 1er au 6 février, plusieurs ateliers ont été proposés à l’école Demangeot le mardi 2, à l’attention des élèves de Magali Klotz. Cette classe de CM1-CM2 a en effet été choisie comme classe olympique cette année (au même titre que la classe de Bruno Panighini à René Haby).

Sous le préau de l’établissement scolaire, les enfants se sont succédé sur les différents stands, en présence de représentants du Comité Départemental Olympique et Sportif, de la Ligue Handisport du Grand Est, de la Fédération Française de Sport Adapté (Ligue du Grand Est), de l’Office des Sports de Lunéville, du Club Handisport de Lunéville et de l’Amicale Lunévilloise de Tennis de Table (ALTT).

Par petits groupes, et dans le respect du protocole sanitaire en vigueur, les élèves ont joué au tennis de table et à la boccia, ils ont appris quelques mots du langage des signes et ont effectué aussi un parcours en fauteuil roulant. Ils sont également passés par des ateliers en se mettant dans la peau de personnes malvoyantes et malentendantes.

A l’issue de cet après-midi convivial, ponctué par des petits quizz sur l’olympisme *, récompenses et fruits ont été distribués aux jeunes participants, ravis de l’expérience et prêts à recommencer bientôt.

* beaucoup ont appris à cette occasion que la flamme olympique était passée par Lunéville en 1968, juste avant les Jeux Olympiques d’hiver à Grenoble

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Eglise St-Jacques : vitraux en cours de restauration

Le 20  janvier dernier, des professionnels de l’atelier Jean Salmon, spécialisé dans la création et la restauration de vitraux, ont déposé plusieurs panneaux de l’église Saint-Jacques. Objectif ? La remise en état de vitraux, dégradés par le temps.

Pendant un mois environ, les vitraillistes de l’atelier de la région messine seront aux petits soins pour les parties de vitraux concernées (panneaux en 1 x 1 m ou 1,4 x 1 m).

“Nous allons refaire l’ossature plomb et consolider les pièces fendues”, a rappelé le gérant de l’atelier.

Pour déposer les vitraux en question, des échafaudages de près de 12m de haut ont été installés tout autour du choeur.
Le temps de la restauration, des panneaux en plexiglass alvéolé remplacent les pièces manquantes.

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Réseau Lunéo

Depuis le 14 janvier, deux arrêts sont de nouveau desservis :
– ‘Sélestat’ (Ligne 1) reporté au début du Quai de Sélestat (côté rue Ernest Bichat)
– ‘Médipôle’ (Ligne 2)

La non-desserte des arrêts ‘Foyer Familial’ (Ligne 1) et ‘Lamartine’ (Ligne 2) reste d’actualité jusqu’à nouvel ordre.

Nouveaux horaires de la Ligne 2 (Peupleraie – ZAD) disponibles :
– en Agence, place Pierre Semard – Tél : 0 800 60 70 62 (service & appel gratuits)
– sur www.bus-luneo.com

ligne 1
ligne 2

Des clowns et un orgue de Barbarie

En ces derniers jours de l’année 2020, l’équipe d’animation des résidences autonomie Boffrand et Ménil a proposé aux seniors deux moments fort appréciés :

– Elodie Hatton (alias Quiche) et Brigitte Loiseau, artistes clowns de l’association La Crique, ont déambulé dans les couloirs, à la rencontre des résidents (en porte à porte) et improvisant au hasard de leur ‘tête à tête’ d’amusantes saynètes ; guitare et petit clavier numérique en main, elles en ont aussi profité pour interpréter des chansons ; les traditionnels chants de Noël ont bien sûr été repris en choeur comme des airs plus contemporains (ex : ‘Couleur café’ de Serge Gainsbourg ou ‘Mon amant de St-Jean’). Cette animation a été offerte grâce au concours du Lions Club de Lunéville, représenté par son nouveau président, M. Eric Gudice.

– Patrick Berger a lui joué de l’orgue de Barbarie ; là encore, en raison des mesures sanitaires en vigueur, le comédien-conteur lorrain s’est invité dans les couloirs pour décliner des mélodies qui ont également rappelé à toutes et tous bien des souvenirs, de ‘La Java Bleue’ à ‘Riquita’, en passant par ‘Fleur de Paris’ ou ‘Si tu veux… Marguerite’. Entre deux chansons, Patrick Berger en a profité pour glisser quelques histoires, en l’occurrence les fameux Contes de Fraimbois avec le bon accent lorrain qui va bien !

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St-Nicolas à la rencontre des seniors

Lundi 7 décembre, le saint patron de la Lorraine a continué sa tournée en ville. Après les écoles, il a rejoint les résidences Ménil et Boffrand.

Protocole sanitaire oblige, il a été à la rencontre des seniors qui l’attendaient patiemment devant le pas de leur porte.
St-Nicolas, accompagné par le Père Fouettard, a ramené dans sa hotte de nombreuses friandises, sous les airs enjoués de morceaux de guitare (… « ils étaient 3 petits enfants, qui s’en allaient glaner aux champs »…). Cette année, et pour la première fois, les St-Nicolas en chocolat distribués aux seniors provenaient d’une enseigne spécialisée lunévilloise.

Le personnel des résidences avait revêtu pour l’occasion ses plus beaux atours – déguisements de lutin en l’occurrence – afin de faire honneur à la venue de l’évêque de Myre. L’illustre personnage à la longue barbe blanche et à la mitre rouge n’a pas manqué de leur glisser quelques mots, et de souhaiter aussi aux résidents une joyeuse fête. Il a également apprécié à sa juste valeur les décorations mises en place dans les parties communes et qui apportent, malgré la lourdeur du contexte sanitaire, un air de fête !

Une application au service du commerce local

Protester, alerter et proposer…

Le confinement tel qu’il a été établi a eu un impact très grave sur le fonctionnement et donc la situation économique de très nombreux commerces de proximité. De Lunéville à Baccarat, les élus du territoire se sont efforcés, par des démarches fermes et concertées de faire prendre conscience aux plus hautes autorités de l’État de la gravité de la situation dans laquelle les décisions prises entraînaient ces établissements. Toutefois, protester, alerter, faire des propositions ne suffit pas, surtout si ces dernières ne semblent pas prises en compte.

… et agir !

Dès le début du confinement, une première réunion de réflexion a été organisée par Bruno Minutiello, président de la CCTLB, avec les maires de Lunéville (Catherine Paillard) et de Baccarat (Christian Gex) ainsi qu’avec les vice-présidents en charge de l’économie. La réflexion s’est étendue à l’ensemble des maires de la Communauté de Communes.  L’avis de nombreux commerçants du territoire, de professionnels confirmés a été pris sans perdre de temps.

En quelques jours, la décision de lancer une initiative commune, 100% locale, dans le but de passer ce cap difficile, mais aussi – et c’est important – de préparer l’avenir, a été prise.

L’application : J’ACHETEDELUNEVILLEABACCARAT

Il s’agit, en s’appuyant sur le savoir-faire d’une entreprise locale spécialisée (ED Services à Manonviller), de créer une « place de marché numérique », une application gratuite à travers laquelle chaque commerce et producteur du territoire peut facilement proposer ses produits à la vente.

Cet outil sera exclusivement consacré à ces commerces de proximité et à ces producteurs locaux.

Il ne s’agit pas de créer un énième site de e-commerce, mais une application que tout habitant pourra télécharger gratuitement sur son portable ou son ordinateur ou sa tablette.

D’un clic sur l’icône, le client potentiel pourra consulter instantanément les offres faites par les commerçants ou les producteurs adhérents. Il pourra réserver les produits qui l’intéressent et passer ensuite en prendre livraison en magasin .

Un outil de proximité, très simple à utiliser

Il a semblé important aux élus et aux commerçants que le site de paiement et de livraison final du produit au client reste le magasin. Il faut que les clients gardent l’habitude de passer en boutique, pour dialoguer et demander conseil.

De plus, en terme de mise à disposition, le commerce de proximité permet souvent d’aller plus vite que les grandes plates-formes de e-commerce : si le produit est disponible, le client peut passer quasi immédiatement.

La proximité, le contact sont la force du commerce local. Il faut mettre en valeur cet atout.  Cette application y contribuera parce qu’elle est simple, réactive, rapide.

Et concrètement ?

Pour les habitants, l’application jachetedelunevilleabaccarat est disponible gratuitement au téléchargement pour tous les appareils mobiles, via Google PlayStore et l’AppStore.  Elle permet de visualiser en temps réel les produits disponibles à la vente, d’effectuer des recherches thématiques, de les réserver et de proposer au commerçant un horaire et une date de paiement et de retrait en boutique. Le client qui réserve un produit s’engage à venir le payer et le retirer auprès du commerçant.

Pour les commerçants, une inscription préalable est demandée via la page Internet www.jachetedelunevilleabaccarat.fr. Une fois l’inscription validée, le commerçant télécharge une application dédiée et s’en sert pour proposer à la vente ses produits. L’application permet de prendre en photo ses produits, de les décrire, d’indiquer leur disponibilité, d’être informé des réservation effectuées par les clients et de convenir d’un horaire de paiement et de retrait à la boutique.

Parlons argent…

  • Pour le client, aucun frais, aucun abonnement. Il doit juste télécharger gratuitement l’application en allant sur Google Playstore ou Apple Store. L’icône sera sur l’écran de son portable et, à tout moment, il lui suffira de cliquer sur cette icône pour disposer de l’ensemble de l’offre commerciale du territoire (commerçants de proximité et producteurs locaux).
  • Pour le commerçant ou le producteur, il n’y aura aucun investissement et aucun engagement sur le long terme, seule une très modeste participation mensuelle sera demandée : gratuit en décembre, 5€ HT/mois pour le premier trimestre 2021, la CCTLB subventionnant le lancement de cette plateforme.
  • Le commerçant ou le producteur aura juste à tenir à jour ses offres sur le site, comme il le veut, autant qu’il le veut. S’il a déjà un site internet ou une page Facebook active, l’un n’empêchera pas l’autre !

Et l’avenir dans tout ça ?

Les perspectives positives d’un tel projet sur le long terme sont réelles surtout dans le contexte actuel où le principe d’une consommation moins frénétique, plus durable gagne du terrain de jour en jour.

Que l’on soit producteur, commerçant ou client, nous sommes tous consommateurs. Tous, nous nous rendons compte que consommer local a du sens, que le monde change, et qu’il faut s’adapter à cette réalité.

Le succès sera avant tout le fruit d’une volonté collective.
Ayons confiance en nous !